La pharmacie de charité
Les maladies gynécologiques
Pour les aménorrhées, J.F. Oberlin utilisait des infuso-décoctions de plantes aromatiques amères et astringentes : armoise absinthe, arnique de montagne, mélisse officinale et rue fétide.
Pour les métrites, il préconisait la saignée ou le lavement et la tisane d’orge.
Pour les fièvres puerpérales, il préconisait des bains de vapeurs d’eau dans laquelle on avait fait cuire des navets ou de boire un thé de fleurs de violette odorante.
Des sternutatoires étaient préconisés lors desaccouchements difficiles. Pour provoquer l’éternuement, on mettait dans les narines une poudre de tabac ou de muguet ou encore de marron d’Inde.